Diaporama

<p> </p><p><b>ABADAS</b></p><p><b>Association Bretonne d’Aide Directe</b></p><p><b>à l’Afrique Sub-saharienne</b></p><p><b>(Association loi 1901)</b></p>

<p>Fourniture par la laiterie de Sabcé, de 90 litres de lait et yaourt par semaine, les factures sont réglées directement par l’ABADAS.</p>

<ul><li>Koudougou, appelée Nandon par les gourounsi en langue lyele, est une ville du Burkina Faso, la troisième en population après Ouagadougou et Bobo Dioulasso. Chef-lieu de la Province de Boulkiemdé, préfecture du département du même nom et capitale de la région du Centre-ouest. L'emblème de la ville est le baobab.</li><li>Située sur le plateau mossi à 100 km à l’ouest de Ouagadougou, la ville est reliée par la voie ferrée (depuis 1952) à la capitale burkinabè à l'est et à la capitale ivoirienne Abidjan au sud-ouest, en passant par Bobo-Dioulasso. La N13 au sud mène à la ville de Sabou et au nord vers Yako. La N21 se dirigeant vers le nord-ouest mène à Réo et la N14 allant vers l'ouest mène à Dédougou.</li></ul>

<p style="text-align: center;">Située au sud-est du BURKINA, BITOU ou BITTOU est un village du département et la commune rurale de BITOU, dont il est le chef-lieu, situé dans la province du BOULGOU et la région du CENTRE-EST au BURKINA FASO.<br />Elle est située à 250 km de OUAGADOUGOU, à 39 km de la frontière du TOGO et à 18 km de celle du Ghana. </p>

<p>Les Peuls, présent dans la plupart des pays d'Afrique de l'Ouest mais aussi dans certains pays d'Afrique centrale, sont éleveurs de bovins</p><p>Certains se sédentarisent peu à peu. Ils constituent une minorité dans tous les pays qu'ils habitent. Des terres leur sont allouées par le Burkina Faso.</p><p>Le bétail est leur seule richesse. Fierté de leurs éleveurs, les bovins servent de "compte épargne", mais sont à la merci des périodes de sécheresse et des maladies.</p><p>L'élevage de bovins zébu est principalement pratiqué pour le lait.</p><p>Peu en contact avec les populations des pays dans lesquels ils résident ils sont touchés par l'analphabétisme.</p><p>Les mobylettes et motos et surtout les téléphones mobiles sont en train de changer leur vie. (et plus généralement celle de tous les Africains).</p><p>La moitié de la population de Signoghin est âgée de moins de 15 ans et près des deux tiers des enfants ne vont pas à l'école car ils sont trop loin de la ville. En tout cas l'arrivé de l'utilisation des smartphones semble donner aux jeunes de ce continent en pleine mutation l'envie d'apprendre à lire et à écrire.</p>